6 lutego 2012 minęła 67 rocznica śmierci Roberta Brasillacha.
Brasillach urodził się w 1909 roku.
Wybitny poeta, krytyk literacki, prozaik i tłumacz, rozstrzelany został na żądanie komunistów.
Najwybitniejsi przedstawiciele francuskiego życia kulturalnego wystąpili o łaskę dla niego, na co De Gaulle odpowiedział odmownie.
Robert Brasillach jest obecnie uznawany za jednego z najwybitniejszych poetów francuskich.
Poniżej jeden z jego najbardziej znanych wierszy w języku oryginalnym.
MON PAYS ME FAIT MAL
Mon pays m’a fait mal par ses routes trop pleines,
Par ses enfants jetés sous les aigles de sang,
Par ses soldats tirant dans les déroutes vaines,
Et par le ciel de juin sous le soleil brûlant.
Mon pays m’a fait mal sous les sombres années,
Par les serments jurés que l’on ne tenait pas,
Par son harassement et par sa destinée,
Et par les lourds fardeaux qui pesaient sur ses pas.
Mon pays m’a fait mal par tous ses doubles jeux,
Par l’océan ouvert aux noirs vaisseaux chargés,
Par ses marins tombés pour apaiser les dieux,
Par ses liens tranchés d’un ciseau trop léger.
Mon pays m’a fait mal par tous ses exilés,
Par ses cachots trop pleins, par ses enfants perdus,
Ses prisonniers parqués entre les barbelés,
Et tous ceux qui sont loin et qu’on ne connaît plus.
Mon pays m’a fait mal par ses villes en flammes,
Mal sous ses ennemis et mal sous ses alliés,
Mon pays m’a fait mal dans son corps et son âme,
Sous les carcans de fer dont il était lié.
Mon pays m’a fait mal par toute sa jeunesse
Sous des draps étrangers jetée aux quatre vents,
Perdant son jeune sang pour tenir les promesses
Dont ceux qui les faisaient restaient insouciants,
Mon pays m’a fait mal par ses fosses creusées
Par ses fusils levés à l’épaule des frères,
Et par ceux qui comptaient dans leurs mains méprisées
Le prix des reniements au plus juste salaire.
Mon pays m’a fait mal par ses fables d’esclave,
Par ses bourreaux d’hier et par ceux d’aujourd’hui,
Mon pays m’a fait mal par le sang qui le lave,
Mon pays me fait mal. Quand sera-t-il guéri ?
( ar)
Zdaje się, że aby informacja była pełna – tytuł powinien brzmieć „Rocznica egzekucji…”
@KR: Tyle że JKM hajlował z wyraźnym sarkazmem, chcąc w ten sposób przekazać widzom coś istotnego. Niestety, w ogniu dyskusji najwyraźniej nie pomyślał o tym, że merdia przekabacą to na obrzydliwą oznakę faszyzmu, przyczepiając mu tym samym odpowiednią etykietę i ugruntowując jego wizerunek oszołoma. PS. O Brasillachu dowiedziałem się dopiero dziś.
Oto lista ludzi ktorzy sie bili o uratowanie poety: Paul Valéry, Paul Claudel, François Mauriac, Daniel-Rops, Albert Camus, Marcel Aymé, Jean Paulhan, Roland Dorgelès, Jean Cocteau, Colette, Arthur Honegger, Maurice de Vlaminck, Jean Anouilh, André Barsacq, Jean-Louis Barrault, Thierry Maulnier, pastor Marc Boegner. Brasillach byl wizytatorem w Katyniu.To chyba z tego powodu go roztrzelano.
@A.Ratnik – z cała pewnością nie z powodu Katynia. Nie fantazjujmy. Stracono go za kolaborację i nazizm.
En septembre 1944, sa mère et son beau-frère, (…) Maurice Bardèche, ayant été arrêtés pour faire pression sur lui, il se constitue prisonnier auprès de la Préfecture de police de Paris. Il est emprisonné à la prison de Fresnes (actuel Val-de-Marne) et poursuivi pour intelligence avec l’ennemi. Son procès, qui s’ouvre le 19 janvier 1945 devant la cour d’assises de la Seine, dure 6 heures. Il est condamné à mort le jour même après une délibération de vingt minutes. Sa défense avait été assurée par Me Jacques Isorni, lequel fut également, quelques mois plus tard, avocat du maréchal Pétain. Dans les jours qui suivirent, une pétition d’artistes et intellectuels renommés, parmi lesquels Paul Valéry, Paul Claudel, François Mauriac, Daniel-Rops, Albert Camus, Marcel Aymé, Jean Paulhan, Roland Dorgelès, Jean Cocteau, Colette, Arthur Honegger, Maurice de Vlaminck, Jean Anouilh, André Barsacq, Jean-Louis Barrault, Thierry Maulnier, etc., demanda au général de Gaulle, chef du gouvernement provisoire, la grâce du condamné. Le général choisit de ne pas commuer la peine prononcée, ce qui entraîna l’exécution de la sentence, à le 6 février suivant, lorsque Brasillach fut fusillé au fort de Montrouge. Bien des biographes s’interrogent sur les raisons ayant poussé le général de Gaulle à laisser exécuter Robert Brasillach. Selon les témoignages successifs de Louis Vallon et de Louis Jouvet, qui l’interrogèrent sur le sujet, de Gaulle aurait vu dans le dossier de Brasillach la couverture d’un magazine le montrant sous l’uniforme allemand. Il y aurait eu une confusion avec Jacques Doriot. Lacouture, qui rapporte cette rumeur, ne croit pas à cette interprétation. Il penche pour l’hypothèse d’une concession faite aux communistes pour pouvoir être plus ferme sur d’autres points. « […] Le général de Gaulle a écouté Mauriac, et a refusé la grâce. Quoi qu’il en pensât, de Gaulle ne pouvait s’opposer à toutes les exigences des communistes qui constituaient un tiers du pouvoir, sinon davantage. Ils exigeaient la tête de Brasillach, qui avait conduit bien des leurs au poteau. Je pense que de Gaulle a fait la part du feu. […] »
@TD 1940-1944 : we Francji miala miejsce wojna domowa.To byly porachunki po pokonaniu jednej strony.